De tous temps, il y a eu des
pauvres et des riches. Il y a même eu des périodes où les riches avaient "leurs"
pauvres et ils s’en occupaient. Au temps des romains, par exemple, un sénateur
riche entretenait « ses » pauvres. Il leur donnait à manger et, les
pauvres votaient pour lui… ainsi, ils continuaient de manger !
De nos jours, je ne peux pas dire
que tout cela a beaucoup changé ; les pauvres continuent de voter, de
donner leur voix mais, les élus ne participent plus tellement, directement en
tous cas. Par ailleurs, il y a eu une augmentation rapide de nouveaux pauvres
qu’ils seraient incapables d’y faire face avec leur fortune personnelle. (Quoi
que pour certains, je doute…)
Heureusement, il y a eu Coluche
qui a pu mettre en place, en 1985, les « Restos du Cœur » qui sont
devenus une institution, une bouée de sauvetage, une main tendue.
Au début, il
est aidé par quelques amis bénévoles
comme Daniel Balavoine, Yves Montant ou Jean-Jacques Goldmann mais, rapidement
l’idée se propage et, aujourd’hui, ils sont plus de 60 milles bénévoles et
quelques millions de donateurs à continuer l’association.
Ils sont
utiles ; c’est une certitude mais, leur action qui devait être de courte
durée perdure. Ils ont besoins de bras. Ils ont besoin de moyens.
Nous ne pouvons plus compter sur
ceux que nous élisons ? Pas de problème. Nous sommes 60 millions. Si
chacun fait un peu, nous arriverons là où les politiciens ont échoué. Pour cela, donnons. Même si chacun ne donne qu'un peu, que ce qu'il a, que ce qu'il peut ; chaque don est utile.
"Donnons pour les Restos du Cœur".
Comme convenu avec mes amis,
voici leurs blogs, si vous aimez lire : avidoxe, SelonCarmen, EcrirePastel et VittorioDenim.
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