Comme le mot
l’indique, la narration réaliste décrit (dépeint pour ce qui nous concerne) des
histoires tirées de la réalité ou qui y ressemblent beaucoup. Et tout cas, des
histoires qui se veulent crédibles, plausibles, à la limite du fait divers ou
de la biographie.
C’est le quotidien que vivrait le protagoniste s’il n’était
qu’un personnage de fiction.
Et, plus on se rapproche de la triste réalité,
plus on a intérêt à mettre de temps en temps un peu d’humour, un évènement
étrange ou un coup de théâtre inopiné qui empêche le lecteur de sombrer dans
l’ennui ou la monotonie, qui empêche le lecteur de décrocher.
C’est comme pour
un musicien qui joue de la clarinette, de temps en temps, il faut lui laisser
le temps de respirer. Alors, sur sa partition, on lui met des pauses ou des
soupirs. Pour la bédé, c’est pareil. Le lecteur doit reprendre son souffle.
Alors, on lui met des passages drôles, étonnants ou légers, histoire de rompre
le récit.
D’ailleurs,
même quand on réalise une biographie, il faut casser le rythme ; la vie
réelle, elle-même, n’est pas que plate. De temps en temps, il y a des
rebondissements, de l’imprévu, des coups du sort.
Pour la bédé, c’est
pareil.
Si vous voulez
voir une de mes bédés, tapez dan&dina.youtube et partagez. Sinon, Comme convenu avec mes
amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan, Ecrire Pastel, Éric Valloni, et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.
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