Avec le post du
16/10 je pense avoir dit l’essentiel pour se lancer dans la bédé, que ce soit
côté dessin ou côté scénario ; le reste c’est de l’expérience qui
s’accumulera au fur et à mesure.
Évidemment, si vous avez des questions, vous
pouvez me les poser via le mail. J’y répondrai.
Par contre,
vous l’avez remarqué, je n’ai pas beaucoup parlé de l’aspect financier car là,
on rentre dans le côté sérieux et ce n’est pas le propos de ce blog : de
la bédé, de la vignette à l’ouvrage de plusieurs pages, avec humour.
Et,
l’humour est partout.
Voyez Tomi
Ungerer, par exemple, il fait du sérieux, de l’enfantin, du comique, de la
dérision, du caricatural, du sexe, du burlesque, de l’enseignement, de
l’ironie, etc. et toujours avec une pointe (sans le casque) d’humour.
Pour ceux qui
ne connaissent pas (oh !) Tomi Ungerer, vous pouvez visiter le Musée qui lui est consacré à Strasbourg sinon attendre une
de ses expositions près de chez vous…
Bien sûr, j’aurais
pu vous citer d’autres auteurs, ce que je ferai dans les prochains
articles, mais ce que je veux
dire par là, c’est que l’aspect petits sous n’est pas important quand on y
croit, quand on a la passion, quand on le fait parce que « c’est ça que je
veux faire ».
Et je vais vous citer des paroles d’une chanson de Charles
Aznavour :
Et si
l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criait famine
Et toi qui posais nue
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criait famine
Et toi qui posais nue
La bohème,
la bohème
Ça voulait dire
On est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Ça voulait dire
On est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Dans les
cafés voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistro
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poêle
En oubliant l'hiver
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistro
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poêle
En oubliant l'hiver
Le principe est
le même aussi pour ceux qui font de la bédé. Un sur dix mille percera
rapidement. Un sur mille en vivra et ce sera celui qui saura « se vendre »,
pas le meilleur, non, celui qui saura se vendre !
Mais, si toi-même
ne croit pas en toi, comment pourrais-tu convaincre les autres que tu as de la
valeur ?
Donc, être le
meilleur ne suffit pas.
A méditer !
Si vous voulez
voir une de mes bédés, tapez dan&dina.youtube et partagez. Sinon, Comme convenu avec mes
amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan, Ecrire Pastel, Éric Valloni, et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.
Vous aurez de
quoi lire et, toujours, avec humour. Vous pouvez vous abonner, liker et/ou
partager. Merci.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire