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lundi 19 novembre 2018

Eh, dis ! Si on...


Un jour, vous pourrez dire : « Mon travail est fin prêt ! » et, si vous voulez qu’il arrive entre les mains d’un quelconque lecteur,  il vous faudra choisir entre 3 types d’édition. 

A compte d’éditeur :
L’éditeur se charge de tout. Vous lui présentez votre ouvrage et, s’il l’accepte, il prend tous les frais à son compte, édition, publicité et votre rétribution. C’est très rare mais, ça arrive… quand votre talent est « immédiatement » visible. Or, tout le monde ne sait pas « se vendre ! »
Avantage : vous ne vous occupez de rien.
Inconvénients : vous n’êtes plus libre ; il faut faire selon la ‘ligne éditoriale’, aller dédicacer dans les salons où l’éditeur est présent, etc. vous êtes liés par un contrat et un contrat se respecte. 

L’éditeur vous fait payer tout ou partie des frais occasionnés.
Pour moi, un éditeur qui ne prend pas de risque n’est pas un bon éditeur. Il ne croit pas en ce qu’il fait. Éventuellement, c’est un financier pour « sa » poche mais pas un vrai éditeur. A éviter.
Avantages (et inconvénients) : vous serez édité rapidement (même si ce que vous faites n’est pas bon) et vous bénéficierez de son réseau de vente (s’il en a un !)
Inconvénients : vous supporterez tous les coûts liés à la publication. Souvent, il y a une absence totale de diffusion et votre ouvrage ne sera ni référencé ni connu.
A utiliser avec prudence. 

L’autoédition : vous faites tout vous-mêmes
A petite échelle, c’est possible. Mais, vous devrez financer votre projet et être objectif sur votre travail. Si ce n’est pas bon, il vous restera sur les bras ! Vous serez patron, éditeur, dessinateur, publiciste, coloriste, scénariste, etc. et devrez vous chercher un bon imprimeur et des salons où vous pourrez vendre votre production. Etc. à vos frais. 

Pour en savoir plus sur les avantages et inconvénients des différentes sortes d’édition, lire « Ecrire des Nouvelles » de Vittorio Di Marco de la page 222 à la page 134. (dmvictor@libertysurf.fr

Si vous voulez voir une de mes bédés, tapez dan&dina.youtube et partagez. Sinon, Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan,  Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.
Vous aurez de quoi lire et, toujours, avec humour. Vous pouvez vous abonner, liker et/ou partager. Merci.

lundi 12 novembre 2018

Mélanger les couleurs


Vous voulez faire des dessins en couleur. C’est très bien. Comme je l’ai dit dans mon article précédent, aujourd’hui, avec les ordinateurs, on peut faire du beau travail. 

Vous voulez mélanger plusieurs techniques de colorisation ! Pourquoi pas. Vous avez choisi la difficulté mais, c’est possible. Mais, attention, il y a plusieurs règles à respecter. 

Associer l’encre de chine avec de la gouache ou de l’acrylique, vous pouvez le faire si vous respectez un ordre de préférence. 

Je m’explique. Vous avec mis de l’acrylique en voulez mettre de l’encre dessus : elle ne va pas adhérer. Mais l’acrylique tient sur l’encre. 

Ainsi :
Si les couleurs à l’eau touchent la gouache, celle-ci sera mouillée et va tâcher. C’est logique et compréhensible. Mais, si on met les couleurs à l’eau d’abord, on peut passer la gouache un peu plus tard, elle se superposera. La gouache se superpose aussi à l’encre, d’ailleurs. 

Conclusion : 
Il faut commencer par les couleurs à l’eau et finir par l’acrylique
Pareil si vous faites de l’aquarelle : vous commencez par les couleurs claires pour terminer par les couleurs fortes. 

Bonne chance. 
Faites des essais d’abord, vous verrez bien. C’est pour cela qu’on suit des cours ; pour apprendre et se parfaire. 

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lundi 5 novembre 2018

A la plume ou au pinceau ?


Je me souviens, quand j’étais petit, je lisais le journal « Pilote » et me régalais avec les productions de Marcel Gotlib et, la bédé qui m’a le plus marqué était celle où il répondait à une question : « Vous travaillez à la plume ou au pinceau ? » 

Avant de commencer, je vous mets un lien pour voir un petit film qui vous fera connaitre Marcel Gotlib, Patrice Lecomte et l’esprit de ‘ces années-là’ : https://vimeo.com/255181739  

Ensuite, pour répondre à cette vaste question, je dirai que pour moi ce serait plutôt les feutres. 

Pourquoi ? Parce que, entretemps, les japonais ont inventé les feutres et qu’il en existe de plusieurs grosseurs, ce qui me permet de faire des sujets qui sont supposés être loin avec les feutres fins et les sujets qui sont près avec les feutres gros. Aussi parce que je peux utiliser des feutres de couleurs alors que l’encre de chine reste noire ! Mais, cela n’engage que moi. Chacun peut et doit travailler selon ce qu’il veut faire ressortir dans son dessin. 

Aujourd’hui, ce ne sont pas les techniques qui manquent.
On a même mis au placard le spirographe car, avec nos ordinateurs et leur mémoire de grande capacité on peut tout faire. On peut mélanger toutes les techniques… et en plusieurs centaines (milliers) de couleurs !  

Alors, la question ‘plume ou pinceau’ ne se pose plus. On travaille sur informatique !
Mais, ne croyez pas que ce soit plus facile. Si vous n’avez pas de talent, vous ne blufferez personne ; cela se verra… et en couleur.  

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