Nombre total de pages vues

jeudi 31 décembre 2015

BONNE ANNEE 2016 et, pour fermer la porte 2015...

Dan&Dina
Vous souhaitent  une 
BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2016 
remplie de joies, d'humour et, pour changer, de tendresse 

et, pour bien fermer la porte derrière nous, pour laisser 2015 s'endormir tranquillement, nous vous proposons de visionner : 


rendez-vous est pris pour 2016 

avec notre amitié sertie d'humour

D&D

samedi 12 décembre 2015

DANS SON MANTEAU ROUGE ET BLANC ou Rot Un Wiss



Tous les ans, dès que Noël approche, les musiques des magasins se mettent au goût du jour, si je peux dire, car on entend toujours les mêmes chansons de Noël : Petit Papa Noël de Tino Rossi, Jingle Bells de James Pierpont (adaptée en français par Francis Blanche avec le titre Vive le Vent), Noël Interdit de Johnny Halliday, etc. Toujours les mêmes ! 

Ce n’est pas gênant, c’est Noël et il est bon de se mettre dans l’ambiance.

Et puis, de temps en temps, il y en a une, ressortie d’on ne sait où qui nous ramène à des souvenirs… plus personnels. Une que j’entends et que j’aime depuis 40 ans : "Petit Garçon" de Graeme Allwright. C’est plein d’innocence et de sincérité.On le sent dans les paroles, on le sent dans la voix du chanteur. 

A ce propos, il m’est tombé en main (Quelle drôle d’expression !) une coupure de journal qui avait dû me marquer il y a 20 ans puisque je l’ai conservée. 
C’est Graeme Allwright qui parle et, elle dit ceci : « Je chante parce que je ne sais rien faire d’autre mais j’ai honte car, ce n’est pas ainsi qu’on doit gagner sa vie. La chanson devrait être gratuite. Comme un cadeau. Comme le vent dans les arbres. »
Et, je suis sure qu’il disait vrai. 

J’ai vu Graeme Allwright à 2 occasions. La première, lors d’un concert à Arles. Une amie m’avait presque forcée car elle ne voulait pas y aller seule. J’en fus séduite et j’en devins, non pas fan, je n’aime pas ce mot, mais assidue. La seconde fois, c’est mon mari qui, sachant que j’appréciais le chanteur, la personne, l’humain, m’emmena à son spectacle à Mulhouse. C’est vous dire combien le temps passe ! 
Malgré tout, rien ne change vraiment car, « Petit Garçon » je le chante depuis 40 ans et je l’ai même chanté, il n’y a pas si longtemps, pour endormir « mon » petit garçon. 
 
Bien sûr, en 40 ans, il y a des souvenirs mauvais qui sont venus l’assombrir et rendre tristes les adultes que nous sommes devenus mais, Noël peut revenir tranquillement tous les ans ; c’est du bonheur pour tous les enfants. 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs, si vous aimez lire : avidoxe, SelonCarmen, EcrirePastel et VittorioDenim.

jeudi 3 décembre 2015

COLUCHE & FRIENDS : LES RESTOS DU CŒUR



De tous temps, il y a eu des pauvres et des riches. Il y a même eu des périodes où les riches avaient "leurs" pauvres et ils s’en occupaient. Au temps des romains, par exemple, un sénateur riche entretenait « ses » pauvres. Il leur donnait à manger et, les pauvres votaient pour lui… ainsi, ils continuaient de manger ! 

De nos jours, je ne peux pas dire que tout cela a beaucoup changé ; les pauvres continuent de voter, de donner leur voix mais, les élus ne participent plus tellement, directement en tous cas. Par ailleurs, il y a eu une augmentation rapide de nouveaux pauvres qu’ils seraient incapables d’y faire face avec leur fortune personnelle. (Quoi que pour certains, je doute…)

Heureusement, il y a eu Coluche qui a pu mettre en place, en 1985, les « Restos du Cœur » qui sont devenus une institution, une bouée de sauvetage, une main tendue. 
Au début, il est aidé par  quelques amis bénévoles comme Daniel Balavoine, Yves Montant ou Jean-Jacques Goldmann mais, rapidement l’idée se propage et, aujourd’hui, ils sont plus de 60 milles bénévoles et quelques millions de donateurs à continuer l’association. 

Ils sont utiles ; c’est une certitude mais, leur action qui devait être de courte durée perdure. Ils ont besoins de bras. Ils ont besoin de moyens.

Nous ne pouvons plus compter sur ceux que nous élisons ? Pas de problème. Nous sommes 60 millions. Si chacun fait un peu, nous arriverons là où les politiciens ont échoué. Pour cela, donnons. Même si chacun ne donne qu'un peu, que ce qu'il a, que ce qu'il peut ; chaque don est utile. 
"Donnons pour les Restos du Cœur". 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs, si vous aimez lire : avidoxe, SelonCarmen, EcrirePastel et VittorioDenim.